En expédition de repérage en Namibie et en Angola, j’ai eu envie revoir d’en haut. la zone cotiére du desert de Namib dans laquelle j’etais passé mal de fois mais ou jamais je n’avais sorti mon paramoteur. Mysterieuse et inquietante, balayée par des vents puissants, elle est aussi en casi permanence noye dans le brouillard, surtout en cette saison, ce qui en rend l’approche un peu compliquée. Quelques informations d’un ami pilote de Cessna qui possede un lodge dans le nord du pays m’eclairent un peu sur les possibilités “aéronautiques" de cette partie du pays..
Nous voyageons ma compagne et moi avec un seul 4x4, lourdement chargé ,en autonomie totale.Sans “back-up” possible, le coefficient de sécurité a appliquer est loin d’etre nègligeable surtout dans une zone totalement inhabitée dans laquelle les distances sont considérables. L’accident est exclu, la panne mécanique doit étre solutionnée avec les moyens du bord, et les precautions d’usages doivent ètre prises pour èviter les problémes avec les bestioles diverses (petites ou grandes) qui pullulent dans la region, et ne parlons pas des precautions a prendre pour voler en paramoteur en toute sécurité.
A une centaine de kilometre a l’interieur des terres, en plein désert, nous suivons le lit d’une riviere assechee, dans le sable mou, en direction de l’ocean, depuis une bonne heure. Celle-ci serpente au fond d une vallee encaissee, ou les montagnes de roches rouges si caracteristiques, nous interdisent toute forme de vol. Qui plus est, le vent est tres fort, meme si la temperature est fraiche. De nombreux oryx détallent dans tous les sens et, tout d un coup, le defilé s’ouvre sur une vallee large de deux ou trois kilometres, enclavee au milieu des montagnes comme une invitation au décollage.., un arbre, enorme, au Beau milieu de la riviere, dont les branches les plus basses ont ete arrachees par des elephants, m’inspire. L’endroit est propice. Il faut etre prudent, car si la plupart du temps ces rivieres semblent “hors service”, l’eau peut y arriver a toute vitesse et, en vuelques minutes, monter a un niveau suffisant pour tout emporter. En particulier si il se met a pleuvoir a des centaines de kilometres de la. Il faut savoir quand on peut aller mettre ses roues sans risque dans ce piege potentiel.
Chaleur et mouches sont au programme en milieu de journée. Colline de pierres a droite et a gauche, mais deux ou trois cent metres de distance seulement pour monter sur le plateau, pour retrouver un endroit bien plat et degagé, qui parait face au vent dominant. J’attend patiemment fin du jour, afin de voir si un petit vol est possible, le soir.
Le vent se calme.
Decollage 45 mn avant le coucher du soleil, paysage fantastique au milieu des montagnes, mais air tres agite, il y a encore du vent en altitude et je suis au milieu de turbulences pas tres sympatiques. Vuelques photos vite fait, et je decide de ne pas tenter plus le diable. Apres deux fermetures de la voile, je decide d’abreger le vol.
Au petit matin, il y a un brouillard a couper au couteau, avec moins de 10m de visibilite. Imposible de decoller. Alors que nous prenons le petit dejeuner, au travers du brouillard qui commence a devenir moins opaque, un troupeau d’une dizaine d’élephants apparait a quelques deux ou trois cent metres de nous. Magique!
On est contre le vent et il ne nous sentent pas. J’attrape mon appareil photo, et je file grimper sur la colline en face afin d avoir LE spot. Au milieu des rochers, je monte sans bruit jusqu’au sommet. Je stoppe brusquement avant la cime, derriere un cactus car avant j’entend brusquement un feulement caractéristique.
Adrenaline : lion ou leopard? Les deux peuplent la zone, et aiment bien comme nous autres pilotes, avoir de la hauteur Je ne sais pas si il m a senti ou entendu, ,mais je commence a reculer lentement, ce qui , en descente au milieu des rochers n est pas si simple. J ai bien mon pistolet lance fusee en main, mais je sais bien que si l’animal me veux du bien, je risque de passer un sale quart d’heure.
Il est dit qu’il ne faut pas tourner le dos a un lion, ou se mettre a courir, sinon, on est consideré comme proie. ..
Et je descend jusqu au pied de la colline, en m'attendant a tout moment a le voir foncer sur moi. Et puis non, il a du avoir aussi peur que moi.
Je me jure de parvenir a voler au dessus de la couche, le lendemain matin.
nous changeons d’endroit pour venir se positionner au milieu de la plaine, sous l’unique arbre au pied duquel on trouve des restes d’impalas et des traces de lions(encore). A part quelques autruches au loin, le coin est vraiment tranquile.
Lever du jour, 6h, tout est prêt. Je vois au loin le brouillard dans le lit de la rivière, a quelques kilometres, et par chance, en dessus de moi le ciel est encore degage. J’en profite pour aligner deux points au gps sur une zone sans obstacles, et mesurer l’altitude au cas ou. Vent 0, altitude 900m metres , ma Dakota en corolle, je demarre mon backbone, un peu d’énergie (dur, de bon matin, mais tout est question de motivation)deco en sous vitesse debout sur les freins, et hop, je monte rapidement. Froid, ce matin..
Le soleil commence a eclairer les montagnes juste au dessus du broullard : c'est un moment rare. Je suis le premier a voler ici, c est absolument sur!
je me fais une bonne heure de vol, en recherchant au travers des trous dans les nuages mes amis les éléphants , mais sans trop de succès compte tenu de l’altitude et de la visibilité . Dans l’euphorie du moment , le nez appuyé sur mon Nikon, je ne vois pas que peu a peu la nappe de brouillard a recouvert le paysage au dessous de mes pieds.
il me faudra traverser la couche pour atterir.
On y va pour un aterrissage en IFR. Cent cinquante metres de brume epaisse a traverser sans visibilite, ca veut dire tout faire a l altimetre et au gps; pour trouver la direction du vent qui s est levé, poser au bon endroit sans tomber dans les rochers ou un arbre, et arriver a la bonne altitude. Je ne vois le sol que lorsque j’en suis a moins de cinq metres, le nez sur les instruments, et j ai juste le temps d’arrondir… chaud.
La puree de pois est tellement dense que je dois faire les trois cent metres a pied jusqu’au 4x4 a l’aide du gps, et que je l’appercois seulement lorsque je suis dessus.
Ma femme etait un peu inquiète, et je la comprend..Experience incroyable.
Quelques jours plus tard, nous sommes en bordure du desert de namib, au bord de l'Ocean Atlantique.La meteo est compliquee, sur le litoral depuis quelques jours, avec des vents violents en mi journée. J ai dans l’idée de rejoindre une lagune au pied de dunes géantes a quelque cinquante kilometres de la piste principale. Nous partons sur les cinq heures du matin, a marée basse, dans une puree de pois totale, avec dans l’idee d’arriver sur le site avant que le vent commence a soufler, et si le brouillard veux bien se dissiper. C’est complique, car la marée remonte assez loin et le sable est souvent gorgé d’eau. Je me plante deux fois, car le 4x4 est tres lourdement chargé, ce qui le pénalise dans les situations extrèmes, dans un sable qui parait “normal”, c est en fait de la boue qui colle et littérallement aspire le vehicule vers le bas. Paradoxalement, contrairement aux regles habituelles, lorsqu’on est planté de la sorte, plus on degage le dessous du vehicule, et plus celui ci descend…et devient difficile a sortir. La brume se léve, et on commence a attaquer des dunettes de sable tres tres mou. Le pire qui soit, car on melange sable mou dans la montée, et gluant gorgè d’eau entre les dunes. Peu de traces de vehicules dans le coin et les images satellites utilisées avant de venir ne sont pas de grande utilité.
Le long de la cote il y a des milliers de phoques, et un, tout seul en plein milieu de notre chemin, nous regarde passer comme on regarde passer un train.. On dirait qui’il rigole de voir le 4x4 peiner dans le sable . Arrivee au pied des dunes géantes.
Dunes de deux a trois cent metres de hauteur, avec le bord qui touche l’ocèan. Waouh!
Par contre, mème si j avais calculé d’arriver ici a marée basse pour pouvoir passer, entre les dunes et l’océan, maintenant c est imposible, a peine deux ou trois metres de large de pasage possible. Seul moyen pour couvrir les quinze kilometres, qui restent le faire en vol.
Il est sept heures, il fair jour, le brouillard est parti et il y a juste une toute petite brise bien orientée. J’aide Marie Carmen a decoller, et je pars juste après elle. J’avais oublié comme c’est facile, le paramoteur, en bord de mer! Quel spectacle! Les dunes, sous les couleurs du matin, d’un jaune orange tres photogénique sont gigantesques et c est le terrain de jeu ideal! Au loin ciel et sable se rejoignent dans un degrade etrange, le brouillard n’est jamais loin..mefiance
On longe les grandes dunes en soaring essayant de tirer jusqu’a la lagune qu’on commence a appercevoir. On survole un chacal qui s’enfuit en ne demandant pas son reste. Le vent en hauteur est assez fort meme si il est bien laminaire..
Apres une heure de vol. Je commence a sentir le brouillard revenir. Retour imposé. Si je peut gerer un aterrisage dans la couche, c’est absolument exclu Pour Ma femme et puis ici, en plus du sable il y a beaucoup d’eau..
Cinq minutes apres s’etre posé, le brouillard nous retombe dessus. Il était temps!. J avais dans l’idée de faire les cinquantes kilometres de retour en vol, mais ce sera pour une prochaine fois.
Contrairement au reste du continent noir, ce qui frappe au premier abord dans la majorité des pays d’afrique australe, est le peu de population que l'on y rencontre. Dans un sens, cela rend le voyage plus tranquile, dans un autre, la difficulté et les risques liés aux Deserts sont des parametres biens reels. Nous sommes bien loin du sahara ou on rencontre presque toujours un autochntone en mobylette au detour d’une dune.
Nous voyageons ma compagne et moi avec un seul 4x4, lourdement chargé ,en autonomie totale.Sans “back-up” possible, le coefficient de sécurité a appliquer est loin d’etre nègligeable surtout dans une zone totalement inhabitée dans laquelle les distances sont considérables. L’accident est exclu, la panne mécanique doit étre solutionnée avec les moyens du bord, et les precautions d’usages doivent ètre prises pour èviter les problémes avec les bestioles diverses (petites ou grandes) qui pullulent dans la region, et ne parlons pas des precautions a prendre pour voler en paramoteur en toute sécurité.
A une centaine de kilometre a l’interieur des terres, en plein désert, nous suivons le lit d’une riviere assechee, dans le sable mou, en direction de l’ocean, depuis une bonne heure. Celle-ci serpente au fond d une vallee encaissee, ou les montagnes de roches rouges si caracteristiques, nous interdisent toute forme de vol. Qui plus est, le vent est tres fort, meme si la temperature est fraiche. De nombreux oryx détallent dans tous les sens et, tout d un coup, le defilé s’ouvre sur une vallee large de deux ou trois kilometres, enclavee au milieu des montagnes comme une invitation au décollage.., un arbre, enorme, au Beau milieu de la riviere, dont les branches les plus basses ont ete arrachees par des elephants, m’inspire. L’endroit est propice. Il faut etre prudent, car si la plupart du temps ces rivieres semblent “hors service”, l’eau peut y arriver a toute vitesse et, en vuelques minutes, monter a un niveau suffisant pour tout emporter. En particulier si il se met a pleuvoir a des centaines de kilometres de la. Il faut savoir quand on peut aller mettre ses roues sans risque dans ce piege potentiel.
Chaleur et mouches sont au programme en milieu de journée. Colline de pierres a droite et a gauche, mais deux ou trois cent metres de distance seulement pour monter sur le plateau, pour retrouver un endroit bien plat et degagé, qui parait face au vent dominant. J’attend patiemment fin du jour, afin de voir si un petit vol est possible, le soir.
Le vent se calme.
Decollage 45 mn avant le coucher du soleil, paysage fantastique au milieu des montagnes, mais air tres agite, il y a encore du vent en altitude et je suis au milieu de turbulences pas tres sympatiques. Vuelques photos vite fait, et je decide de ne pas tenter plus le diable. Apres deux fermetures de la voile, je decide d’abreger le vol.
Au petit matin, il y a un brouillard a couper au couteau, avec moins de 10m de visibilite. Imposible de decoller. Alors que nous prenons le petit dejeuner, au travers du brouillard qui commence a devenir moins opaque, un troupeau d’une dizaine d’élephants apparait a quelques deux ou trois cent metres de nous. Magique!
On est contre le vent et il ne nous sentent pas. J’attrape mon appareil photo, et je file grimper sur la colline en face afin d avoir LE spot. Au milieu des rochers, je monte sans bruit jusqu’au sommet. Je stoppe brusquement avant la cime, derriere un cactus car avant j’entend brusquement un feulement caractéristique.
Adrenaline : lion ou leopard? Les deux peuplent la zone, et aiment bien comme nous autres pilotes, avoir de la hauteur Je ne sais pas si il m a senti ou entendu, ,mais je commence a reculer lentement, ce qui , en descente au milieu des rochers n est pas si simple. J ai bien mon pistolet lance fusee en main, mais je sais bien que si l’animal me veux du bien, je risque de passer un sale quart d’heure.
Il est dit qu’il ne faut pas tourner le dos a un lion, ou se mettre a courir, sinon, on est consideré comme proie. ..
Et je descend jusqu au pied de la colline, en m'attendant a tout moment a le voir foncer sur moi. Et puis non, il a du avoir aussi peur que moi.
Je me jure de parvenir a voler au dessus de la couche, le lendemain matin.
nous changeons d’endroit pour venir se positionner au milieu de la plaine, sous l’unique arbre au pied duquel on trouve des restes d’impalas et des traces de lions(encore). A part quelques autruches au loin, le coin est vraiment tranquile.
Lever du jour, 6h, tout est prêt. Je vois au loin le brouillard dans le lit de la rivière, a quelques kilometres, et par chance, en dessus de moi le ciel est encore degage. J’en profite pour aligner deux points au gps sur une zone sans obstacles, et mesurer l’altitude au cas ou. Vent 0, altitude 900m metres , ma Dakota en corolle, je demarre mon backbone, un peu d’énergie (dur, de bon matin, mais tout est question de motivation)deco en sous vitesse debout sur les freins, et hop, je monte rapidement. Froid, ce matin..
Le soleil commence a eclairer les montagnes juste au dessus du broullard : c'est un moment rare. Je suis le premier a voler ici, c est absolument sur!
je me fais une bonne heure de vol, en recherchant au travers des trous dans les nuages mes amis les éléphants , mais sans trop de succès compte tenu de l’altitude et de la visibilité . Dans l’euphorie du moment , le nez appuyé sur mon Nikon, je ne vois pas que peu a peu la nappe de brouillard a recouvert le paysage au dessous de mes pieds.
il me faudra traverser la couche pour atterir.
On y va pour un aterrissage en IFR. Cent cinquante metres de brume epaisse a traverser sans visibilite, ca veut dire tout faire a l altimetre et au gps; pour trouver la direction du vent qui s est levé, poser au bon endroit sans tomber dans les rochers ou un arbre, et arriver a la bonne altitude. Je ne vois le sol que lorsque j’en suis a moins de cinq metres, le nez sur les instruments, et j ai juste le temps d’arrondir… chaud.
La puree de pois est tellement dense que je dois faire les trois cent metres a pied jusqu’au 4x4 a l’aide du gps, et que je l’appercois seulement lorsque je suis dessus.
Ma femme etait un peu inquiète, et je la comprend..Experience incroyable.
Quelques jours plus tard, nous sommes en bordure du desert de namib, au bord de l'Ocean Atlantique.La meteo est compliquee, sur le litoral depuis quelques jours, avec des vents violents en mi journée. J ai dans l’idée de rejoindre une lagune au pied de dunes géantes a quelque cinquante kilometres de la piste principale. Nous partons sur les cinq heures du matin, a marée basse, dans une puree de pois totale, avec dans l’idee d’arriver sur le site avant que le vent commence a soufler, et si le brouillard veux bien se dissiper. C’est complique, car la marée remonte assez loin et le sable est souvent gorgé d’eau. Je me plante deux fois, car le 4x4 est tres lourdement chargé, ce qui le pénalise dans les situations extrèmes, dans un sable qui parait “normal”, c est en fait de la boue qui colle et littérallement aspire le vehicule vers le bas. Paradoxalement, contrairement aux regles habituelles, lorsqu’on est planté de la sorte, plus on degage le dessous du vehicule, et plus celui ci descend…et devient difficile a sortir. La brume se léve, et on commence a attaquer des dunettes de sable tres tres mou. Le pire qui soit, car on melange sable mou dans la montée, et gluant gorgè d’eau entre les dunes. Peu de traces de vehicules dans le coin et les images satellites utilisées avant de venir ne sont pas de grande utilité.
Le long de la cote il y a des milliers de phoques, et un, tout seul en plein milieu de notre chemin, nous regarde passer comme on regarde passer un train.. On dirait qui’il rigole de voir le 4x4 peiner dans le sable . Arrivee au pied des dunes géantes.
Dunes de deux a trois cent metres de hauteur, avec le bord qui touche l’ocèan. Waouh!
Par contre, mème si j avais calculé d’arriver ici a marée basse pour pouvoir passer, entre les dunes et l’océan, maintenant c est imposible, a peine deux ou trois metres de large de pasage possible. Seul moyen pour couvrir les quinze kilometres, qui restent le faire en vol.
Il est sept heures, il fair jour, le brouillard est parti et il y a juste une toute petite brise bien orientée. J’aide Marie Carmen a decoller, et je pars juste après elle. J’avais oublié comme c’est facile, le paramoteur, en bord de mer! Quel spectacle! Les dunes, sous les couleurs du matin, d’un jaune orange tres photogénique sont gigantesques et c est le terrain de jeu ideal! Au loin ciel et sable se rejoignent dans un degrade etrange, le brouillard n’est jamais loin..mefiance
On longe les grandes dunes en soaring essayant de tirer jusqu’a la lagune qu’on commence a appercevoir. On survole un chacal qui s’enfuit en ne demandant pas son reste. Le vent en hauteur est assez fort meme si il est bien laminaire..
Apres une heure de vol. Je commence a sentir le brouillard revenir. Retour imposé. Si je peut gerer un aterrisage dans la couche, c’est absolument exclu Pour Ma femme et puis ici, en plus du sable il y a beaucoup d’eau..
Cinq minutes apres s’etre posé, le brouillard nous retombe dessus. Il était temps!. J avais dans l’idée de faire les cinquantes kilometres de retour en vol, mais ce sera pour une prochaine fois.
Contrairement au reste du continent noir, ce qui frappe au premier abord dans la majorité des pays d’afrique australe, est le peu de population que l'on y rencontre. Dans un sens, cela rend le voyage plus tranquile, dans un autre, la difficulté et les risques liés aux Deserts sont des parametres biens reels. Nous sommes bien loin du sahara ou on rencontre presque toujours un autochntone en mobylette au detour d’une dune.